
Face à soi, cultive la vanité mon beau miroirA tes cotés s'immisce le pays des merveillesPersonne n’échappera à ces illusions d'espoirsDe chacun le joli paraître précipite l'éveilTu es beau, belle dans ce paysageResteras tu toujours et encore sage ?Si on lit de ton existence quelques pagesQuel artifice demeure en ces passagesDe l'humain ne pas observer que l'esthétique Aller au plus profond, gratter la plastiqueOublier des êtres la propre silhouetteVoir au delà d'un corps, de la tête Tout n'est qu'illusion, publique imageAjuste bien ton gilet, ton corsageA l'hiver de ta vie il paraît bien l'âgeQue tu caches ardemment dessous tes usagesRemarquer où se porte la beautéVoir l'atout dans toutes les chosesLe matériel et la nature s'en métamorphosentUne apparence gracieuse n'est qu'un reflet d'effet